yapapire

salutation a vous

je viens ici apprendre a roter et trousser les pucelles française

je fut longtemps un membre de la Garde, mais défendre le palais sans jamais avoir une mission ou avoir un réel esprit d'équipe ma pesé!

vu votre opération suicide je me suis dit que ces avec ces barjots que je voulais me battre

donc me voila

ps qu'elles ont mes ordres ou es ce que je doit me rendre?

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mes troupes se trouve au dessus du bosquet, mon prochain tour aura lieu demain, je compte refaire une santé a mes troupes avant de repartir au combat, mais j'aimerai savoir dans quelle direction je doit prévoir mes mouvement

Installés sur un banc, non loin de l'entrée du Bivouac, Andreas et le père Haspinger devisaient ensembles lorsqu'un inconnu se présenta aux sentinelle.
Enfin, Yapapire n'était plus tellement un inconnu aux yeux des Cosaques.

_Bienvenue à vous officier, on a bien quelques opérations suicides en suspend, pour le moment on hésite entre aller prêter directement main forte à la Garde ou le faire de manière plus indirecte.

la Garde n'est plus que l'ombre d'elle même, a part LETO ET BO, reste pas grand chose

Vitali arriva à son tour à l'entrée de la Sich cosaque. Comme presque à chaque fois lorsqu'il avait un peu de temps, il venait accueillir les nouveaux venus. Le temps était maussade, et le froid de cette fin de septembre était plus mordant.

Yapapire arrivait à la tête de plus de 650 combattants, qui avaient quitté leurs uniformes de la "Garde du Tsar". Après les rigueurs militaires d'une armée soucieuse du protocole et propre sur elle, ils allaient voir ce qu'était la vie dans une horde de ruffians sales et vulgaires. Le choc risquait d'^tre dur pour ses soldats.


"_ Encore une fois, soit le bienvenu, Yapapire. Andreas, peut-être parce qu'il est autrichien, t'a fait l'accueil le plus courtois qu'il soit. Attend-toi ensuite à rencontrer d'autres hommes qui n'auront pas sa bonne éducation. Mais ceux-ci te respecteront tant que tu te montreras à la hauteur en combat, ce dont je ne doute pas."

"Courtoisie! Courtoisie!"
Pokotylo, ayant entendu la conversation au travers des tissus humides de sa tente, ramena sa panse vers l'entrée du camp.
"On parle de courtoisie à l'entrée de la Sich, maintenant!"
Puis avisant le russe à l'unifirme de Garde dépareillé, il demandat à Vitali ce qu'il en était.
"Ben, il semblerait que notre style de combat plaise enfin à certains russes. Voilà Yapapire, qui vient de quiter ... tiens-toi bien! ... la Garde du Tzar, ahaaa!!! pour se joindre à nous!"

Pokotylo, n'en croyant pas ses oreilles, sourit comme si on lui avait annoncé un nouvel arrivage de futs de vodkà!
"Enfin un russe qui nous comprend! Camarade Yapapirovitch, entre et vient donc boire un verre avec nous à la Taverne. J'espère que t'as amené tes femmes avec toi, parce que je garde les miennes!
Et j'espère que tu as le gosier solide parce que nous n'avons toujours pas deviné ce que notre tavernier mettait dans son alcool et que par moment, ça arrache! (Enfin, moins que le thé noir de Vitali!)"

Ruffiants !

Que faites vous encore ici ? Si vous retardez le grand Kahn, je vais devoir encore palabrer au mess et je n'en ai aucune envie.

Et le Pysar ? Il cuve où celui là ?

titubant jusqu'a l'entrée, il sortie son "pistolet" personnel munis d'un seul "barillet" et urina juste a coté du nouveau venu tout en engageant la conversation

-salutation et bienvenu parmi nous...
j'peux te prêter 1 ou 2 femmes si les tiennent sont pas encore là. Elles sont rondouillette mais donnent chaud... AHAHAH



il rangea son "matos" et s'essuya la main en tapotant sur l'épaule du nouveau venu

AHAHAH tu te plairas ici... ou pas... AHHAHAAH

je crois que je vais vite m'habituer a votre verbe