Pokotylo était près de l'entrée du camp: il regardait partir un cavalier. Il fillait plein sud dans le noir et le froid de l'enfer d'hiver.
Pokotylo ruminait, ce cavalier allait au devant d'une troupe qu'il attendait avec impatience. Des éclaireurs avaient repéré un groupe de cosaques portant les couleurs du chef de guerre vétéran Spendz.
"S'il revient au Voïsko, je pense que les français vont morfler! ça fait plaisir de voir revenir les fils et frères de nos steppes du sud"