Sortant de la brume du matin, un cavalier mystérieux apparaît devant les gardes du bivouac cosaque.
Il était monté sur un grand cheval blanc, typiquement venus des steppes de Russie. L'homme en question avait un équipement de la garde cosaque. Lorsqu'il arriva devant les gardes, il descendit de son cheval lourdement et l'on découvrit à cet instant que son équipement était usé, sale et défait, et qu'il portait sa lance dans une main et une bouteille de vodka dans l'autre...
C'est d'un ton grave et fier, qu'il s'adressa aux gardes du campement cosaques :
"Salutation, camarades. Je suis l'adjudant Dimitri Ivanov et je viens confier mes deux bataillons de cosaques à ce régiment. Je suis cosaque dans l'âme et dans le sang, mes hommes aussi. Nous avons toujours oeuvré ensemble aux frontières, comme tous nos frères venus de la vallée du Don. Aujourd'hui nous prennons les armes une fois pour toute contre les Franzkis. Un tir, une charge, un tir, une charge ! Voilà notre mot d'ordre ! Maintenant, écartez-vous je dois remplir mon stock de vodka pour moi et pour mes frères !"
L'adjudant remonta sur son cheval et pénètra dans le camp avec fierté