Entrée du bivouac

Le Sous-lieutenant Pokotylo se présente à nouveau au bivouac et transmet le missive suivante.

Aux estimés membres de la Rada:

Salut à vous, chefs Cosaques,

Ayant intégré votre régiments depuis plus de deux mois et ayant participé aux opérations dans la Passe des Cosaques, je souhaite savoir si mon unité sera enfin admise de manière définitive.
En effet, je pense que ma préiode d'essai est largement dépassée depuis longtemps.
Je pense également que de nombreux membres du régiment peuvent témoigner que j'ai participé activement aux combats de cet été et que j'ai communiqué en permanence avec le front.
J'ai également cassé quelques tabourets dans la taverne, mais j'ai promis de payer avec le prochain butin que je ferai sur le champs de bataille.
Je souhaite donc savoir quelle est votre décision finale à mon égard: Suis-je admis de manière définitive ou non?

Mon sabre sera toujours au service de la cause Cosaque.

Sous-lieutenant Pokotylo

Waclaw Rzewuski a écrit:

HRP : Je n'ai toujours pas acces aux HRP

Je vérifie ça...

"_ Les votes ont commencé il y a environ une semaine, Pokotylo. Pour faire bref, laisse-moi le temps de reprendre mes marques après mon absence, et je suis l'affaire. Bien d'autres postulants cosaques sont dans la même situation que toi. Je tire ça au clair dès ce soir."

Messieurs,

Autant je respecte vos actions car il est évident que vous êtes d'excellents guerriers, cependant je commence à en avoir assez des réflexions de certains d'entre vous qui font notamment partis de votre haut commandement.
Aussi, je vous informe que je ne souhaite plus intervenir chez vous ne m'y sentant plus le bienvenu.
Je vous laisse la possibilité de me répondre pas respect envers votre invitation que j'ai apprécié avant de me retirer définitivement par moi même.
Je tient à signaler que cette décision n'appartient qu'a moi et ne reflète en rien celle du régiment des partisans du lys qui n'est pas encore au courant par ailleurs afin qu'il n'y ai aucune ambigüité.

respectueusement Michel Foster

"_ Hey cul-blanc! Tu te dis civilisé et tu parles à ton cheval!!!"

Le soleil se levait sur le bivouac. Dans cet instant où la lumière naissante blesse les yeux fatigués des sentinelles, deux cavaliers s'avançaient dans la plaine.
-Mon adjudant, êtes vous sur de votre décision? Les cosaques ne sont pas les préférés du Tsar.
-Oui, Zoukof, je suis sur de moi. Les cosaques ne sont pas aimés, non du Tsar, mais de l'Etat Major. Ce sont de fortes têtes et de plus forts caractères encore! Avec eux, la guerre est une danse où notre cavalier est la mort. Oui, moi Souvaroff, je suis sur qu'ils sont les plus proche à mon coeur et à mon ame.
Les deux cavaliers arrivaient en présence des sentinelles
-Bonjour, sentinelles, nous demandons à pouvoir nous présenter devant l'Hetman et la Rada.

Arrivant à bride abbatue pour rejoindre la Rada, Berner von Pommern s'arrêta devant les sentinelles bien qu'elles l'ait reconnu. Ces deux hommes à cheval l'intriguaient et encore plus leur discours.

Messieurs, rassurez-vous! Le Tsar sait ce qu'il doit au 1er régiment de cosaques. Il connaît leur valeur. Incontestablement, vous avez fait le bon choix en intégrant une unité jeune mais déjà reconnue pour son action sur le front. Et c'est un prussien qui vout le dit!!
Bienvenue au sein de ce régiment.

Berner von Pommern remit son cheval au galop pour rejoindre au plus vite la Rada.

Spendz, Habramovitch et Vitali travaillaient tous trois sur le dossier des recrues cosaques. Il en arrivait sans cesse, les derniers étant les soldats de Souvaroff. Lorsqu'un garde vint les avertir que sa sotnias arrivait, Vitali sortit accueillir l'officier. Un nuage de poussière trainait derrière les deux cents hommes en marche. Derrière, se couchait un soleil rougeoyant, annonciateur d'une nouvelle chaude journée. Vitali rejoignit Berner, et tous deux apprécièrent le spectacle.


"_ Soit le bienvenu Souvaroff! Ca fait un bon bout de temps que tu combattais à nos côtés, avec la même ardeur, et le même désir de massacrer du "cul-blanc"! Il était temps que tu rejoignes nos Cosaques. C'est un grand plaisir que de t'accueillir parmi nous. En ce bivouac, tu es désormais chez toi."


Puis, il regarda derrière lui, et constata qu'il devait bien manquer la moitié de son bataillon.


"_ Mais dis-moi, Souvaroff. Ton bras droit, Zoukoff, a choisi une autre route que la tienne?"

Souvaroff sourit à la réflexion de Vitali
-Non pas Vitali. Zoukof à fait sa propre demande et c'est pour celà qu'il se présente en même temps que moi.
-Ainsi fait Lieutenant, j'ai posté ma demande en terme moins formels que celle de mon supérieur. Elle n'en est pas moins désireuse de combattre à vos coté. Loins des mots mes actes et le sacrifice de mes hommes qui reviennent des tentes en ce moment même montrent ma volonté d'en découdre avec les révolutionnaires.

Spendz arriva au bivouac apres avoir disparu depuis plusieur jour.
Pardonnez-moi les amis.Mais mes chariot de transport on eu un leger probleme de roues.Et les chevaux etait plus que fatiguer de trainner ces chario casser.Donc je me suis retrouver bloquer a quelque kilometre du camp sans moyen de transport a part mes jambes.Se qui ma reussi aparament.



(hrp:Chariot = carte graphique )

Un homme se présenta au bivouac face aux deux sentinelles cosaques.
Le contraste était saisissant: l'homme faisait figure de géant face aux Cosaques. Et sa tenue tyrolienne (multicolore) ajoutait une touche de couleur aux fourrures des gardes.

Bonjour messieur, je me présente, Sous-lieutenant Andreas Hofer, j'ai été intégré dans votre régiment et souhaite rencontrer votre supérieur pour faire mon rapport.

Et il entra dans le bivouac dès que les sentinelles s'écartèrent.

L'entrée du camp était calme, le bruit de la mer berçait le calme de l'immense plaine qui s'étendait au nord du campement.
Les gardes commençaient à s'assoupir lorsque le bruit d'un galop les sorti de leur torpeur.
Un cavalier arrivait mais il ne ressemblait pas à un russe, ni à un français. Lorsqu'il arriva à hauteur des sentinelles, il arrêta son coursier et leur lança:

_Bonsoir messieurs, je suis Joseph Speckbaker, sous les ordres d'Andreas Hofer, je commande une unité de voltigeurs qui arriveront au campement dans quelques jours.
Est-ce que le père Haspinger est ici? C'est le remplaçant de Karl Mack.

_La compagnie de Mack est arrivée ici mais je ne sais si votre curé est ici.

_Bon, je pense qu'il doit alors être sur place, par contre ce n'est pas un curé mais un capucin, un moine en fait, et il est passé maître dans l'art de manier le crucifix.

Depuis qu'il avait reçu la missive de Berner von Pommern lui signalant la nouvelle affectation du bataillon sur le front sud, Karl von Schwerin avait ordonné à sa compagnie de cavalerie de faire mouvement afin de rejoindre le campement cosaque. La troupe arriva tard dans la nuit. Seule une sentinelle tentait vainement de se réchauffer à la lueur des torches et foyers éclairant l'entrée du camp.

Je suis Karl von Schwerin. Je commande la 15286e compagnie de uhlans. Mon officier, le Capitaine Adjudant-Major Berner von Pommern, m'a ordonné de me présenter à lui au campement du 1er régiment de cosaques. Ayez l'obligence de me mener à lui.

Pokotylo a rencontré une jeune recrue sur son retour à travers les neiges et le blizar du sud.
Il s'agit d'une nouveau sous-officier: le Sous-lieutenant Setsuko, matricule 15204.

Il semble très intéressé de rejoindre notre régiment.
(HRP/ je lui ai donné les instructions officielles et officieuses pour nous rejoindre)
Je pense qu'il ne tardera pas à venir présenter sa missive de motivation ici-même.

une cinquantaine de cavaliers arrivent au galop dans ce qu'on pourrait appelé plus communément un Bordel! L'un d'eux s'avança vers le garde!

Salutation Camarade!
Je suis Popof, j'arrive du campement de la Garde ou j'ai empreinté ces quelques chevaux avec mes camardes! Ces couillons ne se sont aperçu de quedal! Habra a raison! ce sont pire que des gonzesses!

Un troupe de petite importance s'approchait de la tente, à l'entrée du Bivouac.
La nouvelle position du campement n'était pas encore une habitude bien connue.
Deux hommes avançaient à la tête de cette petite troupe d'une cinquantaine d'homme.
C'était Pokotylo et un inconnu.

Pokotylo s'avança vers Vitali et s'adressa à lui:
" Camarade Hetman, je suis content de te voir revenir aux "affaires"."
D'un air bourru, celui-ci répondit:"Pas autant que moi, Poko. Mais dis-moi. Quel est ce jeune gamin que tu traines derrière toi, et ces hommes sous-équipés. Tu les as sortis du berceau?"
Pokotylo répond:
"Je viens d'être nomé lieutenant, j'ai donc pu engager quelques bras de plus. Je te présente mon nouvel adjudant. Il se nome Barabach et amène sa sotnia de voltigeurs.
Acceptes-tu de les intégrer au régiment?"

deux cavaliers s'approchèrent du bivouac

" dobrié dién tovarichtch cosaky, mon nom est andreï jenkov, je suis nouvelement arriver dans le premier regiment de cosaque avec le grade de sous lieutenant, voici mon adjudant pavel droubetskoï. Laisse nous entrer tovarichtch, mes troupes arrivent bientot"

La nuit était tombée depuis fort longtemps maintenant mais deux chevaux se profilèrent à l'horizon. Les gardes se tinrent prets à intervenir craigant un raide d'éclaireurs français. Il leur fallut attendre que les deux hommes se rapprochent pour distinguer le vert de leur tunique d'infantrie russe. Lorsque les deux soldats furent arrivaient l'un d'eux fit halte et se présenta.

"Dobrié dién camarades, je me présente, Sergent Dan nouveau venu parmis les votres. Désolé de mon arrivée tardive mes ma compagnie est actuellement en replis en arrière du front suite à une embuscade tendue par ces viles franskis. Suite aux actes de bravoure de mes hommes j'ai eu l'honneur de recevoir un message de votre officier Vitali Viatchesla afin de rejoindre vos rangs. Sur ce je vous prie de m'excuser mais je vais aller me coucher la journée de demain sera rude et il me faut récupérer après le long voyage effectué aujourd'hui. Transmettez mon arrivée aux autres officiers après le changement de guarde en début de matinée. Bonne soirée compagnons!"

Sur ces derniers mots les deux cavaliers tirèrent sur la bride de leur cheval et disparurent dans le bivouac.

Le lieutenant Andreas Hofer était proche de l'entrée lorsque les deux cavaliers arrivèrent.

_Tiens, des nouveaux. Bah, plus on est de fous, plus on rit.

Il souhaita les rejoindre mais la douleur d'une blessure dans l'articulation de son genou l'empêcha de faire la démarche et son état de fatigue le conduisit dans sa tente où il s'endormit dans un sommeil réparateur, sous l'ombre du drapeau français qu'il avait capturé à l'ennemi lors de ses débuts sur la Campagne.

Les moujiks avaient grognés lorsqu'il avait fallu prendre la relève pour la nuit et les chants qui provenaient de la taverne du soleil soulignaient que la nuit allait être longue à faire le pied de grue à l'entrée du campement.

Et surveillez vous, bande de soiffards !
Il parait que des cosaques disparaissent...

AH AH AH

Igor prenait plaisir à l'idée de rester au campement avec les bohémiennes qui trainaient autour.

Le franski gelé, j'aime pas trop ça de toutes façons. Marmonna t'il discrétement.
Vivement mon cadeau... Si Fedor tient sa parole...

Un détachement de cavaliers se présente au bivouac. Un jeune officier descend de cheval et vient se présenter au garde.

Camarade, je me présente. Je suis Biroulia Madskyi et je viens de la famille de Pokotylo.
Il vient de recevoir le grade lui permettane de commander à mes hommes.
Nous souhaitons donc joinde le 1er pulk Cosaque (en officieusement le 2eme Pulk).
La Rada nous accepte-t-elle?

Plusieurs cavaliers arrivèrent derrière le détachement de Biroulia Madskyi. Celui qui semblait commander le groupe descendit de sa monture et se dirigea vers le garde:

_Salutations. Je me présente. Adjudant Joseph von Hormayr, je commande une unité de chasseurs à cheval et je souhaite rejoindre le 1er Pulk Cosaque (enfin, le 2ème Pulk).

Une cinquantaine de lanciers montés sur des chevaux de przewalskis et menés par un homme du même nom arrivérent au campement au lever du jour. Le veilleur cosaque ronflé à l'entrée du campement!

Frère! Frère!Frère!

Le cosaque ouvrit les yeux difficilement, le regarda et se remit en position pour dormir. Przewalski sortit son engin et se mit à lui pisser dessus, les hommes se mirent à rire. Le cosaque se releva brutalement une arme à la main

Que veux tu l'emmerdeur?

Je suis Przewalski, un des meilleurs dresseurs de chevaux dans ma région, tout comme toi je suis un fier cosaque. Mon supérieur et frère Lycaon, m'a demandé de vous rejoindre et j'en suis foutrement heureux, je suis un nomade, finit les combats en compagnie des fusiliers, je vais pouvoir combattre en cosaque. Il cracha par terre Mes frères et moi avons voyagé toute la nuit pour atteindre ce campement, ce qu'on voudrait avant tout c'est boire et se reposer. Puis j'irai voir tes chefs.

Allons, montre nous le chemin frère, je te promet de te payer à boire.

Le veilleur se mit à sourire

Si tu me payes à boire on y va, tu vas perdre ton argent frère!

Il rigola. Tous descendirent ensuite de cheval pour suivre le veilleur