Le Lieutenant français, sur de lui, ne trembla pas face à la menace du cosaque...
- Parce qu'il faut une permission pour se présenter ici ?
Je dois admettre que j'ai eu du mal à trouver le bivouac des valeureux Cosaques. Même les services de renseignement de la Garde n'ont pas su me dire ou il se trouvait.
Mais par un heureux hasard, j'ai enfin réussi à le localiser.
Sachez que je viens ici amicalement si j'ose dire... Je ne suis pas accompagné par mes hommes et l'objet de ma visite n'est nullement de vous provoquer. Je ne compte pas non plus outre mesure signaler à toute la Grande Armée le lieux ou se trouve votre bivouac. Je crois en effet avoir compris qu'il était secret, ou en tout cas, que vous le vouliez secret.
En effet, je ne pense pas que beaucoup de français soient venu en ces lieux par le passé. Me trompe je ?